Le Mont Fuji, inscrit au patrimoine mondial.
Le Fujisan (Mont fuji), cône volcanique solitaire, souvent
couronné de neige, s'élève au-dessus de villages, de le mer et
de lacs, a inspiré les artistes et les poètes, a été l'objet d'un
pèlerinage depuis des siècles.
Le respect et la crainte qu'inspirent le forme majestueuse du mont fuji,
et l'activité volcanique intermittente ont donné naissance à des pratiques
religieuses qui associent le shintoïsme et le bouddhisme.
La partie classée par l'Unesco, comprend le sommet de la montagne et,
répartis sur les pentes et à son pied, 7 sanctuaires, des auberges
accueillant les pèlerins, des sources, une chute d'eau, une pinède et des
arbres moulés dans la lave.
Le volcan, à environ 100 km au sud-ouest de Tokyo, s'élève à 3776 mètres d'altitude, ses pentes sud descendent jusqu'aux rivages de la mer dans la baie de Suraga.
La forme conique quasi parfaite du mont Fuji, couronné de neige a inspiré
les artistes au début du XIXe siècle, qui ont produit des images qui
transcendent les cultures, ont permis de faire connaître la montagne
C'est vrai! elle est bien belle cette montagne!
Nouveau système de propulsion, pour les avions au sol.
Moment fort de la 3è journée du Salon du Bourget :
Le présentation d'un nouveau système de taxiage électrique au sol, les avions du
futurs seront peut-être plus économes, moins polluants et bruyants pour se déplacer
sur les pistes, avant et après décollages et atterrissages.
EADS et Siemens s'allient dans l'avion électrique
L'avenir de l'aviation sera électrique. Les constructeurs aéronautiques multiplient les études et les expériences afin de tester de nouvelles technologies. Après l'Airbus A380 et le Boeing 787 Dreamliner -l'avion le plus électrique en service dans le monde aujourd'hui, avec 1,4 mégawatt de puissance installée-, l'objectif est de parvenir à construire un avion de ligne 100% électrique. Une échéance encore lointaine. Pour cela, il faudra concevoir un moteur (système de propulsion) tout électrique ou hybride. Un vrai défi car, contrairement à l'automobile, un avion a besoin d'une puissance phénoménale pour s'arracher du sol.
EADS, maison mère d'Airbus, mène des recherches depuis plusieurs années. Pour aller plus loin, le géant européen a annoncé, mardi 18 juin, dans le cadre du Salon aéronautique du Bourget, un accord de partenariat de recherche de long terme avec le groupe allemand Siemens. L'objectif est de proposer des systèmes de propulsion électriques hybrides pour hélicoptères et avions long-courriers à terme.
Ces avions du futur
Le groupe européen ne part pas de rien. Il présente au Bourget plusieurs concepts dont l'e-fan, un démonstrateur d'avion-école biplace électrique développé en coopération avec Aero Composite Saintonge (ACS), une PME du Poitou, et le soutien des régions Poitou-Charentes et Aquitaine. L'e-fan, véritable laboratoire technologique, a servi à valider plusieurs concepts. Équipé de batteries lithium-polymères, il doit faire son premier vol d'essai cette année en vue d'une mise sur le marché d'ici trois à quatre ans, une fois la certification obtenue. «Cette étape sera la plus difficile à franchir», assure Jean Botti.
Ces avions du futur, plus silencieux, plus économiques et plus propres, doivent permettre de répondre à trois enjeux: la hausse du trafic aérien, l'envolée du prix des énergies fossiles et le durcissement de la réglementation environnementale. Pour autant, le «tout-électrique» ne réglera pas tout. C'est pourquoi les avionneurs investissent aussi, en liaison avec les pétroliers, dans les bio fuels de seconde génération, adaptés aux moteurs qui équipent la flotte en service.
Si les gros porteurs voient le jour, ce sera un superbe exploit!
Airship, le drone de ballon dirigeable
SALON DU BOURGET -
Mais c'est quoi? L'aéronef ne ressemble à rien de connu. Il s'agit d'un ballon dirigeable drone (sans pilote) à tête de catamaran! Cet appareil troposphérique, gonflé à l'hélium, est destiné à mener des missions d'observation du climat dans l'atmosphère et de surveillance de l'Arctique. Il pourrait aussi être employé dans le cadre d'opérations de sauvetage car il est capable d'enlever jusqu'à 7 tonnes et de les transporter en volant à 1000 mètres d'altitude. «Sa vocation est civile et scientifique. C'est un ballon d'observation», résume Jean Botti, directeur technologie d'EADS, maison mère d'Airbus.
Une maquette de plus de deux mètres est exposée sur le stand d'EADS. Mais les mensurations réelles de l'engin seront bien plus imposantes: 90 mètres de long, 60 mètres de large et 8 mètres de hauteur. Construit avec 100% de matériaux composites, il est doté d'une structure mince et rigide. Il est équipé de deux moteurs de poussée alimentés en biocarburant.
Pour le moment, Airship est un concept qui cherche des fonds publics pour devenir un démonstrateur. EADS travaille déjà avec plusieurs universités et cherchent à nouer des accords de coopérations.
Ce n'est pas un satellite! mais il aura vraisemblablement un rôle à jouer!
Les Américains ne sont plus les premiers !
Jean-Brice Dumont, un faux air d'Harrison Ford, possédant une formation
de polytechnicien, une autre de pilote, est le directeur "d'eurocoptère", une
entreprise franco-allemande, spécialisée dans la fabrication d'hélicoptères.
(22000 salariés dans le monde).
Cet adepte des séries télé, explique que l'engin expérimental le "X3", est devenu
le 7 juin dernier, l'hélicoptère le plus rapide du monde, en volant à environ 472 km/h
au-dessus d'ISTRES.
Il précise que cette performance exceptionnelle a été atteinte, parce que, le prototype
est un "girodyne", comme Supercoptère.
Bien-sûr, des techniques de pointes ont été utilisées pour réaliser cet exploit.
Comme quoi aussi; le présent rattrape le futur !
Supercoptère, n'est plus seul. 